Holipreneuriat – Sophie Stellar https://www.sophie-stellar.fr Wed, 04 Jan 2023 14:50:11 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.4.4 https://www.sophie-stellar.fr/_wp/wp-content/uploads/2021/06/cropped-4.13.20_My_Logos_PNG_151px-02-e1623157675363-32x32.png Holipreneuriat – Sophie Stellar https://www.sophie-stellar.fr 32 32 185662462 Co-créer avec l’Univers https://www.sophie-stellar.fr/co-creer-avec-lunivers/ Wed, 04 Jan 2023 13:39:10 +0000 https://www.sophie-stellar.fr/?p=3304 Holipreneuriat : Pilier V

On sépare facilement le « pro » et le « perso », comme si qui nous sommes n’avait rien à faire dans ce que nous faisons, comme si nous pouvions ôter des parts de nous-même lorsque nous passons la porte du bureau, comme si ce qui était de l’ordre du travail était décorrélé du reste du vivant et des mondes subtils. Pourtant notre activité professionnelle est soumise aux mêmes Lois, aux mêmes principes que les autres domaines de notre vie. Pourquoi parfois a-t-on des pratiques et des croyances sur la vie qui disparaissent quand on passe au pro ? Et si on entreprenait avec l’entiereté de qui nous sommes ? Et si on co-créait avec l’Univers ?

Pour ce cinquième article, j’explore un entrepreneuriat plus sacré, plus conscient qui nous remet à la fois dans l’humilité de notre posture et à la fois dans notre puissance créatrice d’oeuvrer en association avec l’Univers. Parce qu’alignement ne rime pas forcément avec gros sous.

Quand on est chef•fe d’entreprise, on a envie de réussir, de voir son chiffre d’affaires et sa clientèle progresser constamment, de réaliser des projets vibrants. Nous sommes les capitaines à bord, responsables de nos succès mais aussi de nos échecs. C’est aussi exaltant que culpabilisant. Sommes-nous assez ? A-t-on assez voulu ? travaillé ? … Mais est-ce vraiment vrai ? Notre seule volonté et notre seule force de travail sont-elles gages de notre réussite ? Pourtant parfois nous sommes investi•es et cela ne fonctionne pas comme on l’espérait. Ou au contraire, des opportunités viennent à nous à la pelle sans que nous n’ayons rien provoqué. Et si l’Univers avait d’autres plans pour nous que nous refusions de voir ?

Et si cela enlevait un grand poids de nos épaules que d’accepter que nous ne sommes pas seul•es maitre•sse à bord ?

C’est tellement libérateur de rentrer dans une co-création avec l’Univers plutôt que de lutter à vouloir imposer les désirs de notre mental à notre ligne de temps. Bien sûr que personne ne souhaite avoir une entreprise qui péréclite, mais comme tout ce que nous traversons dans cette vie, nous sommes là pour expérimenter, pour apprendre. Parfois nous avons besoin d’apprendre à ralentir, à investir d’autres domaines de notre vie que le pro… Cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas assez, que nous sommes en échec. Cela veut simplement dire que nous vivons une vie faite de pleins et de déliés et que tout est beau si tout est accueilli comme une expérience et non une définition figée de qui nous sommes. Lutter pour obtenir un résultat qui n’est pas atteignable pour l’instant peut être épuisant et culpabilisant. Co-créer avec l’Univers pour suivre son flot nous ouvre à bien plus de magie et de sérénité.

Pourquoi devrions-nous réserver la magie et la connaissance de soi à notre vie privée, à nos relations, à nos pratiques spirituelles ? Notre entreprise est soumise aux mêmes Lois Universelles de cyclicité, de résonance, d’attraction, de soulèvement… En prenant en compte ces principes dans notre entrepreneuriat, en les intégrant dans notre posture, on vient dire à la Vie : « Ok dansons ensemble. » On remet notre mental à sa juste place d’exécutant du plan divin qui s’ouvre à nous. Il ne nous juge pas, ne mesure pas notre réussite ou notre échec. Nous n’avons rien à gagner pour mériter d’être et de briller, nous sommes intraséquement méritant•e.

L’expérimentation de notre pouvoir créateur dans l’entrepreneuriat n’est qu’une des nombreuses façons de nous connaître nous-même, de savoir qui nous voulons être.

Ainsi en naviguant avec le flot plutôt qu’à contre-courant, nous arrêtons de perdre de l’énergie à obtenir ce que notre mental, nos parents, la société de consommation ou les réseaux sociaux veulent que nous soyons, que nous ayons, que nous obtenions. Non, être en réussite dans son entreprise ne signifie pas que nous avons craqué les Lois de l’Univers, que nous sommes aligné•es ou que nous réalisons notre mission de vie. Cela veut seulement dire que nous expérimentons l’abondance de clientèle et de CA. On peut être dans cette situation et extrêmement malheureux•se. L’un n’induit pas l’autre. On peut vivre le parfait alignement dans une configuration financière et professionnelle difficiles car on accueille ce que nous avons à alchimiser, nous grandissons et apprenons et c’est tout ce que l’Univers veut pour nous.

Alors oui, cela demande de la confiance en soi, de la foi en ce qui est plus grand que nous. Si je sais que je suis soutenu•e et aimé•e inconditionnellement par l’Univers, je peux me déposer dans son mouvement avec confiance et sereinement accueillir les vagues. Si la peur dirige mes actions alors je ne suis pas en pleine présence de ce qui est et en pleine connexion à mon intuition : vivre ce qui est juste pour moi à chaque instant. Et ce n’est pas que du négatif, c’est aussi les opportunités, les rencontres, les chemins de traverse… c’est aussi cela co-créer avec l’Univers : ne pas avoir besoin de maitriser le comment pour arriver à destination. Ce n’est pas notre job, c’est celui du divin. On ne sait pas comment nous allons arriver là où nous devrions être mais nous y allons avec légèreté et confiance. Ce serait dommage de s’en priver non ?

Aide toi et le Ciel t’aidera

Attention cependant à ne pas tomber dans le mouvement inverse : celui de la passivité. Non, tout ne viendra pas à nous si nous restons assis•e dans le canapé à invoquer la volonté divine. Il s’agit d’une co-création, pas d’une assistance à personne en danger. En se reconnectant à nous-même, à notre intuition ET en nous mettant en mouvement, nous pouvons alors saisir ce que la Vie nous offre. Sinon, on fait l’étoile de mer et rien ne se passe.

Le juste équilibre est possible par une profonde écoute : Ai-je besoin d’entreprendre ou de prendre du recul ? Dois-je monter ce projet ? Dire oui à ce client ? Investir dans cette formation ? La réponse de notre intuition nous met en action. Sans forcer, sans taper du pied, sans caprice. Mais aussi sans se blâmer soi et le Ciel. Le coeur ouvert. Toujours. C’est à cet endroit que l’Univers peut venir nous rencontrer, attraper la main que nous lui tendons. C’est ça la co-création. C’est un processus horizontal et de soutien mutuel. C’est se souvenir que nous sommes un Tout en résonance avec l’Univers, même assise à un bureau, surtout lorsque nous oeuvrons pour le monde.


Le prochain article vous emmènera plus loin dans l’exploration de l’holipreneuriat à travers le pilier IV : L’accomplissement.

C’est quoi l’holipreneuriat ?

Holi- pour holistique et holy (sacré en anglais)

L’holipreneuriat, c’est entreprendre à partir de soi et avec toutes les parts de soi et de façon sacrée. C’est mettre en oeuvre sa mission d’être tout en prenant soin de soi et du monde.

Pilier I : La cyclicité

Intégrer sa cyclicité intérieure et la cyclicité de son entreprise.

Pilier II : L’équilibre des énergies féminine et masculine

Entreprendre depuis son féminin et mettre en oeuvre grâce à son masculin.

Pilier III : La prospérité

Abandonner l’abondance. Préférer la prospérité.

Pilier IV : Le soin de soi et du monde

Devenir son meilleure boss et rayonner

Pilier V : La co-création avec l’Univers

Honorer le subtil et faire confiance

Pilier VI : L’accomplissement

Tracer sa voie et se réaliser pleinement

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Prendre soin de soi & du monde https://www.sophie-stellar.fr/prendre-soin-de-soi-du-monde/ https://www.sophie-stellar.fr/prendre-soin-de-soi-du-monde/#respond Mon, 11 Jul 2022 16:39:12 +0000 https://www.sophie-stellar.fr/?p=2882 Holipreneuriat : Pilier IV

« Depuis que je suis entrepreneur•e, je suis devenu•e mon•a pire Boss ». Combien de fois ai-je entendu cette phrase (dans ma tête et ailleurs) ! Le principal leitmotiv pour lancer son entreprise est la liberté et pourtant nous nous enfermons très rapidement dans un quotidien de peurs et de fuites, avec des journées de travail à rallonges et des objectifs impossibles à remplir. A quoi sert de courir après le temps, l’argent, le succès si c’est pour être malheureux•se en chemin ? (et même pas sûr•e de l’être à la fin)


Pour ce quatrième article, j’explore notre rapport à nous-même comme guide et moteur de notre activité : Quelle place se donne-t-on dans sa boite ? Quel équilibre entre vie pro et perso ? D’ailleurs est-ce-que cela existe vraiment ? Comment se traite-t-on ? Quelle place pour le repos ? pour la joie ? Pourquoi prendre soin de moi est l’unique façon de correctement prendre soin du monde ?


Comment allez-vous en tant qu’entrepreneur•e ? Je veux dire « vraiment ». Etre seul•e à bord de son activité peut provoquer une grande pression : faire grandir l’entreprise, faire du chiffre, prospecter, gérer, planifier… Et comme on a envie de réussir, on se presse à faire, faire et encore faire pour obtenir des résultats. Nous avons vu dans le pilier II, l’équilibre des énergies féminine et masculine, que ça ne tenait pas qu’à cela. Nous avons aussi besoin de recevoir, d’accueillir et d’être à l’écoute de notre intuition.

Prendre soin de soi, c’est se replacer au centre de son entreprise.

Trop souvent nous laissons les client•es, les partenaires, les prestataires ou autres prendre le devant de la scène et nous disparaissons de notre propre boite écrasé•e par des injonctions à travailler plus pour gagner plus. Parfois même notre activité se porte très bien mais ne nous laisse pas une minute pour faire autre chose que travailler. Voir même nous nous épuisons à mener les projets de nos rêves.

L’entrepreneuriat est un marathon, pas une course de fond. Quel plaisir retire-t-on vraiment à travailler d’arrache-pied, sans bouger, sans faire de sorties, voire même sans dormir ou sans nous préparer un bon plat ? Tout cela pour gagner des minutes de temps de travail.

Je ne crois pas à la vie professionnelle et à la vie personnelle. Nous n’avons qu’un corps, qu’une existence remplie de différents types de tâches. Si nous avons une mauvaise nouvelle personnelle, cela affecte notre productivité professionnelle. Si nous avons beaucoup de travail cela va empiéter sur nos temps personnels. Si nous sommes malades, nous ne pouvons pas travailler. Une idée de génie s’exprime rarement devant notre écran d’ordinateur mais plutôt à faire autre chose. Ainsi c’est impossible de séparer les deux, nous ne sommes qu’un•e.

Alors comment faisons-nous en sorte que notre activité nous fasse rayonner tout le temps ? et que nos temps à ne pas oeuvrer nourrissent notre entreprise ?

Des questions à se poser :

  • Quel est le niveau et la texture de mon énergie vitale ?
  • Comment je me nourris ? je m’hydrate ?
  • Comment je fais du sport ? je bouge ?
  • Est-ce-que je dors bien ? assez ?
  • A quoi ressemblent mes journées ? Est-ce-que je passe ma vie derrière un écran ?
  • Est-ce-que je vois assez mes proches ? mes ami•es ?
  • Ai-je du temps de qualité avec ma famille ?
  • Est-ce-que je ris chaque jour ?
  • Ai-je des activités qui ne sont pas du tout liées à mon travail ?
  • Est-ce-que je prends assez de congés ?
  • Comment je me traite ?

Si on se met à écouter nos pensées sur notre façon d’entreprendre, c’est assez fou la dureté et l’implacabilité que l’on peut déployer : « tu n’est pas assez performant•e / successful / expert•e / doué•e / travailleur•euse / organisé•e / etc. »

Traitons-nous comme on traiterait notre enfant.

Soyons ce boss sympa qu’on aurait toujours voulu avoir. Accordons-nous ce dont on a besoin, et non ce qu’on considère « mériter » sur une échelle de valeur qui nous est propre.

Se reposer n’est pas à mériter. C’est naturel et vital. Personne ne demande au soleil de briller en continu ou d’arrêter de dormir. Nous vivons dans une société qui a imposé de travailler un certain nombre de jours pour avoir le droit de prendre des congés. Sans prendre en compte les personnalités de chacun•e. Mais ça, c’est le monde du salariat qui l’impose. En tant qu’entrepreneur•e, ces règles ne s’appliquent pas à nous. Se reposer est un droit autant que d’être en activité. Ecoutons-nous plus pour arriver à l’équilibre des deux, un équilibre tout personnel qui nous ressemble. Est-ce faire une sieste chaque jour ? Travailler seulement 3 jours par semaine ? 3 semaines par mois ? 3 mois par an ? Peu importe : you’re the boss ! C’est en générant une énergie vitale suffisante que nous pouvons vraiment expandre notre activité, rayonner notre médecine, être pleinement épanoui•e dans notre société.

Car on l’oublie aussi trop souvent mais si ce n’est pas pour être heureux•se, pourquoi entreprendre ? Quelle place tient la joie dans nos journées ? Le désir, le plaisir, la futilité, le rire, la surprise, la célébration, l’extase…

Célébrer au quotidien ouvre la porte de la gratitude et donc du bonheur.

On regarde sans arrêt ce qui nous manque, ce qui reste à accomplir, mais saluons-nous ce qui a été réalisé ? Les pas effectués. Les leçons apprises. Les victoires rencontrées. Célébrer peut être très simple. On peut déjà laisser s’exprimer sa joie de recevoir un nouveau paiement, d’obtenir un nouveau client, d’avoir une belle opportunité… Plus ces moments sont ancrés dans la matière, plus notre quotidien d’entrepreneur•e est souriant. Aussi travaillez-vous avec des gens sympas ? Avez-vous du second degré sur les tuiles qui peuvent arriver ? sur vous-même ? Le rire divin éloigne bon nombre de couches de projections mentales qui n’ont pas besoin d’être ajoutées à une épreuve. Est-ce-que vous vous marrez dans votre métier ?

Si vous vous occupez des autres sans d’abord vous occupez de vous, vous devenez un poids.

Nourrir sa propre source de joie, de repos, de bien-être… est la seule solution pour prendre soin des autres sans leur faire porter le fardeau de devoir nous combler. Depuis notre propre espace de soin et de réalisation, nous pouvons alors vraiment aider l’autre car nous n’attendons rien de lui : ni amour, ni reconnaissance, ni solution. Epuisé•e, désemparé•e et/ou triste, comment pouvons-nous entrainer l’autre dans une spirale positive ? comment pouvons-nous avoir un fort impact ? comment pourrons-nous délivrer longtemps notre médecine ?

Le soin de soi n’est pas une option. C’est une nécessité.


Le prochain article vous emmènera plus loin dans l’exploration de l’holipreneuriat à travers le pilier V : La co-création avec l’Univers.

C’est quoi l’holipreneuriat ?

Holi- pour holistique et holy (sacré en anglais)

L’holipreneuriat, c’est entreprendre à partir de soi et avec toutes les parts de soi et de façon sacrée. C’est mettre en oeuvre sa mission d’être tout en prenant soin de soi et du monde.

Pilier I : La cyclicité

Intégrer sa cyclicité intérieure et la cyclicité de son entreprise.

Pilier II : L’équilibre des énergies féminine et masculine

Entreprendre depuis son féminin et mettre en oeuvre grâce à son masculin.

Pilier III : La prospérité

Abandonner l’abondance. Préférer la prospérité.

Pilier IV : Le soin de soi et du monde

Devenir son meilleure boss et rayonner

Pilier V : La co-création avec l’Univers

Honorer le subtil et faire confiance

Pilier VI : L’accomplissement

Tracer sa voie et se réaliser pleinement

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S’ouvrir à la prospérité https://www.sophie-stellar.fr/souvrir-a-la-prosperite/ https://www.sophie-stellar.fr/souvrir-a-la-prosperite/#respond Mon, 06 Jun 2022 16:37:39 +0000 https://www.sophie-stellar.fr/?p=2817 Holipreneuriat : Pilier IV

Vous aussi vous avez l’impression que le mot « abondance » est le nouveau mot à la mode de ces dernières années ? Notamment dans l’entrepreneuriat où ce doit être la nouvelle norme : gagner beaucoup, rêver plus grand, changer le monde… Cependant ne retombons-nous pas dans une course au toujours plus ? Une vision de l’argent et du succès made in « masculin toxique » ? 

Pour ce troisième article, j’explore notre rapport à l’argent, à l’abondance et vous parle de ce terme qui me semble beaucoup plus durable et aligné : la prospérité. C’est quoi « gagner de l’argent’ ? Pourquoi cherche-t-on à avoir beaucoup en ayant déjà peur de demander un peu d’argent ? Pourquoi réussir financièrement ? A quoi nous invite la prospérité ? Comment entretenir un rapport sain à l’argent ?


Gagner de l’argent est une question centrale de l’entrepreneur•e. C’est aussi un des grands freins pour celleux qui n’osent pas se lancer : et si je n’arrivais pas à gagner ma vie ? Alors déjà soyons au clair sur le vocabulaire et le sens des mots utilisés.

Gagner de l’argent, ce n’est pas gagner sa vie.

Notre vie nous l’avons déjà, nous n’avons rien à gagner. Notre volonté est de générer une ressource « argent » qui nous permet d’échanger des biens avec les autres. Le troc est formidable, je l’utilise moi-même beaucoup, mais on ne peut troquer ni l’essence dans la voiture, ni l’assurance de la maison (pour l’instant tout du moins). L’argent est donc un flux, il rentre et il sort. Parfois il est stocké, mais perd son intérêt alors. Et si l’argent est un flux, alors c’est une énergie. Il nous donne la possibilité d’accomplir des choses, d’acquérir des biens dont nous profitons, des expériences qui nous font grandir.

Je crois que nous perdons trop souvent de vue cela. Lorsqu’on place l’argent comme une fin en soi, on se met dans une quête sans réel sens. De plus de nos jours, ce que nous considérons comme de l’argent ne sont que des chiffres dans un ordinateur. Encore plus irréel que des billets de Monopoly, pourtant collectivement nous sommes d’accord pour dire que cela a de la valeur. Alors qu’en vérité, c’est une énergie complètement subtile.

Collectivement, nous vivons un rapport cristallisé et emprunt de mémoires et de traumas liés à l’argent. Des générations qui ont vécu dans la pauvreté ou au contraire dans l’opulence mais sans connaître le bonheur, des humiliations, des vies brimées par le manque de moyens et donc de choix, de la violence, des abus, des trahisons… Nous sommes légataires de cet héritage issu d’un monde dominé par l’argent. Il devient la jauge unique de la valeur, que ce soit des objets ou des personnes.

Avoir de l’argent signifie avoir de la valeur car on a « réussi ». Rien est plus faux.

Ainsi bon nombre d’entrepreneur•es ont du mal à fixer leur prix, de peur de viser trop haut et de ne pas être à la hauteur : de ne pas « valoir le coup ». Pourtant iels sont tout aussi nombreux•ses à avoir envie de gagner suffisamment d’argent pour se rémunérer par leur activité. Paradoxal non ? Il faudrait donc gagner de l’argent mais pas trop ? Juste assez pour ne pas être considéré•e comme « riche » et donc comme « mauvais ». Oui car visiblement vouloir gagner de l’argent c’est avoir de mauvaises valeurs alors que nous sommes d’accord que collectivement nous intéragissons via l’argent et que nous pouvons agir sur le monde par ce biais là. Donc il faut gagner de l’argent mais ne pas vouloir en gagner tout en souhaitant en gagner beaucoup pour ne pas avoir à s’en soucier… Bon. Et si c’était la fin plutôt que les moyens qui était à revoir ?

Le plus souvent, nous n’avons pas d’objectifs ou de réels projets autre que de payer nos factures avec l’argent que nous générons : ne pas être à la rue et ne pas capitaliser non plus. Ou alors nous voyons grand, très grand avec une envie de générer seul•e un chiffre d’affaires à 6 ou 7 chiffres.

Nous naviguons entre survie et abondance. N’existe t’il pas un juste milieu ?

La survie, c’est ne pas s’autoriser le confort d’oeuvrer et disperser son énergie dans une recherche d’argent perpétuelle : cela nous amène à faire des choix dictés par le besoin plutôt que par le coeur. Avoir besoin de générer toujours du cash et rester sur ce fil est le meilleur moyen de ne jamais mettre son énergie dans son expansion. Comment pourrais-je être grand•e alors que j’ai déjà dû mal à être petit•e ? Franchement, je le dis parce que c’est mon cas : c’est la bonne planque. Opter pour la survie, c’est se trouver les excuses pour ne pas grandir, pour justifier qu’on y arrive pas.

L’abondance maintenant. Derrière cette recherche de gagner plus, voir plus grand, d’être au top peut se cacher une fuite en avant perpétuelle. TOUJOURS PLUS. Car oui, l’abondance est définie comme « les conditions de vie où les ressources disponibles dépassent les besoins ». Avons-nous vraiment besoin de plus que ce dont nous avons besoin ? La réponse est dans la question. Le besoin est ce qui est juste pour nous et nous pouvons avoir de grands besoins, aucun souci avec cela. C’est pourquoi il est intéressant de se poser la question et surtout d’obtenir la réponse : pour quoi faire ?

Cette remise au goût du jour du concept de « l’abondance » est à mon sens tout à fait bénéfique. Nous sommes encore nombreux•ses à ne pas s’autoriser à vivre en grand, à avoir ce que nous désirons ou à en avoir honte, notamment au sein des femmes entrepreneures (patriarcat coucou !). Cependant l’abondance n’est pas que l’abondance d’argent (de temps, de liens, d’air, de nourriture, etc) et passer du rien au tout n’est sans doute pas une position d’équilibre mais de manque à combler.

Ainsi il est un mot que je trouve particulièrement juste dans le rapport de l’holipreneur•e à l’argent : la prospérité. La prospérité est un état heureux, une activité fructueuse de quelqu’un• qui est dans une situation favorable.

La prospérité : Etat heureux. Porter ses fruits. Situation favorable.

N’est-ce-pas ce que nous recherchons avec l’argent ? En se disant clairement ce dont nous avons besoin, ce que nous désirons, comment nous contribuons, comment nous grandissons et évoluons par ce biais là aussi, nous créons des fruits.

Car cet état nous permet alors de répondre à nos besoins, de trouver le contentement, la paix mais aussi de dépenser et d’investir en conscience pour continuer à faire circuler ce flux d’énergie « argent » auprès d’autres personnes, qui aussi pourront en bénéficier. N’oublions pas que nous ne sommes pas la dernière étape de ce flux, nous en sommes un de ses maillons et nous pouvons en faire bénéficier d’autres grâce à nos dépenses. Et si nous dépensons auprès de personnes lumineuses, de biens et de services bénéfiques pour nous et le monde, nous nous rapprochons de cet état heureux : la prospérité.


Le prochain article vous emmènera plus loin dans l’exploration de l’holipreneuriat à travers le pilier IV : Le soin de soi et du monde

C’est quoi l’holipreneuriat ?

Holi- pour holistique et holy (sacré en anglais)

L’holipreneuriat, c’est entreprendre à partir de soi et avec toutes les parts de soi et de façon sacrée. C’est mettre en oeuvre sa mission d’être tout en prenant soin de soi et du monde.

Pilier I : La cyclicité

Intégrer sa cyclicité intérieure et la cyclicité de son entreprise.

Pilier II : L’équilibre des énergies féminine et masculine

Entreprendre depuis son féminin et mettre en oeuvre grâce à son masculin.

Pilier III : La prospérité

Abandonner l’abondance. Préférer la prospérité.

Pilier IV : Le soin de soi et du monde

Toujours choisir l’amour et restaurer sa souveraineté.

Pilier V : La co-création avec l’Univers

Honorer le subtil et faire confiance

Pilier VI : L’accomplissement

Tracer sa voie et se réaliser pleinement

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Equilibrer ses énergies féminine et masculine dans son activité https://www.sophie-stellar.fr/equilibrer-ses-energies-feminine-et-masculine-dans-son-activite/ https://www.sophie-stellar.fr/equilibrer-ses-energies-feminine-et-masculine-dans-son-activite/#respond Thu, 19 May 2022 13:57:47 +0000 https://www.sophie-stellar.fr/?p=2768 Holipreneuriat : Pilier II

Entreprendre est encore aujourd’hui trop souvent perçu comme une affaire « d’hommes », ce patron abusif et obnubilé par le chiffre d’affaire, dans la start up nation qui recherche le profit et la croissance à tout prix. On en est encore là à bien des égards et il est tant que cela change.

Déjà cette vision n’est pas que l’apanage des hommes. Toute la société a internalisé cette vision de l’entrepreneuriat comme étant une activité à risques, qui demande de travailler beaucoup et dur, qui ne laisse pas la place aux congés et qui plonge constamment le•a chef•fe d’entreprise dans la recherche de client•es et de profit. Comme ces images sont diffusées à tort et à travers et font porter la culpabilité des entrepreneur•es qui ne parviennent pas à décoller sur leur simple manque d’effort et de volonté. « Si tu n’y arrives pas, c’est que tu n’as pas essayé assez fort, tu n’as pas assez sacrifié pour cela ». Pourtant la motivation numéro 1 des personnes qui se lancent à leur compte est la liberté : de créer, de s’organiser, de choisir ses client•es, d’explorer… Et on se retrouve cependant bien souvent à être nos pires boss.

Pourquoi ? Parce que nous n’avons pas les bons modèles et qu’on nous raconte pas la bonne histoire.

L’entrepreneur•e qui réussit tout du premier coup est une licorne à faire cliquer sur des articles web et payer des formations diverses et variées. Tous les entrepreneur•es ont essayé et échoué avant de réussir. Mais seulement ils ne le disent pas ou ne veut pas l’entendre. Pas assez « success story », pas assez vendeur. Et combien d’entrepreneur•es « réussissent socialement et financièrement » et sont malheureux•euses comme les pierres ? contraints par les salaires et charges à payer ? compressés par le poids des responsabilité et la culpabilité de ne jamais en faire assez. Preuve en est du « burn out de l’entrepreneur•e ». Cette affliction qui ne devrait toucher que les salarié•es soumis•es à une constante pression extérieure et intérieure, touche aussi les entrepreneur•es qui sont les capitaines de leur vie.

Comme pour bons nombre de sujets sociétaux, on retrouve les affres du patriarcat dans l’entrepreneuriat tel qu’on le connait et donc porteur d’un masculin toxique qui enserre les individus et ne leur permet pas de rayonner de leur lumière, guidée par ce qui est essentiel pour eux. Le masculin toxique est la part blessée de l’énergie du masculin : là où le masculin sacré nous apporte détermination, logique, action, force, sécurité, droiture… le masculin blessé nous emmène dans la rigidité, l’hypermentalisation, la suractivité, la violence, le paternalisme ou encore autoritarisme.

Avec le masculin blessé, c’est la quête sans fin du « toujours plus ».

Il est grand temps de requalifier cette énergie à l’intérieur de nous en nous aidant de sa polarité inverse et complémentaire : le féminin.

L’énergie du féminin est une énergie d’intuition, de créativité, d’accueil, de réceptivité… C’est elle qui doit nous guider car c’est elle qui est connectée à notre coeur et à nos tripes : de quoi avons-nous envie ? besoin ? Quelles sont nos ressources ? Comment être inventif•ve ?

Nous avançons avec le masculin blessé guidé par notre extérieur, par les injonctions, par les « il faut ». Est-ce-que « se conformer » en tant qu’entrepreneur•es rend heureux•ses ? Je ne le crois pas. Et d’ailleurs si ça marchait, ça se saurait. Reconnecter avec son énergie féminine dans sa vie est un formidable levier de puissance personnelle pour révéler nos dons et nos fonctionnements. Il serait dommage de la laisser tomber sur le pas de la porte du domaine professionnel en arguant que « C’est pas comme ça que ça marche ». Tout fonctionne de la même façon et est soumis aux mêmes Lois Universelles. En ouvrant la porte à la possibilité de se laisser guider par son intuition et son énergie créative, on découvre alors que nous sommes dans une impasse et que d’autres chemins sont possibles.

Le féminin est notre GPS intérieur là où le masculin est notre véhicule.

Sans véhicule, on ne va nulle part. Sans GPS on ne sait pas où on va. Car attention, verser dans le « tout féminin » c’est aussi se couper de son élan vital qu’est l’énergie du masculin. On tombe alors dans l’attentisme, la passivité, la victimisation… le féminin blessé. Le masculin est ce courant électrique qui nous tient debout et qui nous dit « n’abandonne pas » quand c’est difficile. Car oui, la vie reste une danse sous la pluie et nous avons aussi besoin de notre masculin sacré pour nous relever des épreuves que nous pouvons traverser. Il n’est donc pas à diaboliser ou à mettre de côté mais à ré-équilibrer dans son aspect lumineux et soutenant.

Qu’est-ce-que cela donne ? L’holipreneur•e qui travaille avec ces deux énergies en iel, se laisse traverser par le courant de l’inspiration, de l’intuition dans ses nouveaux projets. Ce sont des appels du coeur et non des désirs du mental. Iel se connecte à sa créativité pour en inventer les formes et les contours. Puis son énergie masculine lui permet de le mettre en oeuvre dans la matière : planning, coûts, communication sont des leviers activés pour faire rayonner son projet, et non les décisionnaires de ce à quoi le projet devra ressembler. Et c’est la même chose dans l’organisation d’une journée de travail : de quoi ai-je envie ? de me reposer ? de créer ? de rêvasser ? de faire de la compta ? Aucun jugement à apporter à la réponse, ce n’est pas le dictateur Planning qui décide, c’est notre être profond qui sent ce qui est juste pour soi, et alors des merveilles peuvent advenir.

Ce n’est pas une recette exact, mais 80% d’énergie féminine et 20% d’énergie masculine me semble un bon équilibre. Dans tous les cas, tout part de soi et tout peut changer tout le temps. Ca c’est le pilier I de l’holipreneuriat, celui de la cyclicité.

Entrons dans cette danse du féminin et du masculin en nous, jusqu’à trouver un équilibre dans l’union divine des deux qui sera sans cesse à retrouver. La bonne nouvelle est que plus on s’engage dans cette voie et plus tout parait plus fluide, plus évident, plus vivant.


Le prochain article vous emmènera plus loin dans l’exploration de l’holipreneuriat à travers le pilier III : La prospérité

C’est quoi l’holipreneuriat ?

Holi- pour holistique et holy (sacré en anglais)

L’holipreneuriat, c’est entreprendre à partir de soi et avec toutes les parts de soi et de façon sacrée. C’est mettre en oeuvre sa mission d’être tout en prenant soin de soi et du monde.

Pilier I : La cyclicité

Intégrer sa cyclicité intérieure et la cyclicité de son entreprise.

Pilier II : L’équilibre des énergies féminine et masculine

Entreprendre depuis son féminin et mettre en oeuvre grâce à son masculin.

Pilier III : La prospérité

Abandonner l’abondance. Préférer la prospérité.

Pilier IV : Le soin de soi et du monde

Toujours choisir l’amour et restaurer sa souveraineté.

Pilier V : La co-création avec l’Univers

Honorer le subtil et faire confiance

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Intégrer sa cyclicité et la cyclicité de son entreprise https://www.sophie-stellar.fr/integrer-sa-cyclicite-et-la-cyclicite-de-son-entreprise/ Tue, 10 May 2022 15:23:59 +0000 https://www.sophie-stellar.fr/?p=2750 Holipreneuriat : Pilier I

La Vie n’est pas la ligne mais le cycle. Cela est valable pour sa vie personnelle comme professionnelle. Accepter les moments down autant que les moments up. Retrouver du mouvement dans sa pratique. Arrêter d’éluder ses zones de génie en se pliant au dictateur « Planning », qui n’est pas le maitre de notre destin. 

Passer à l’holipreneuriat, c’est entreprendre avec sa cyclicité, pour arrêter la course de vitesse et choisir le trail. De grimper et de descendre la montagne. Parfois en marchant, parfois en courant mais toujours en admirant le paysage. 

L’abondance vient aussi de là : du temps, de la créativité, de la multiplicité des activités, de la richesse de présence…

1. Les cycles sacrés

Nous sommes tous•tes différemment sensibles aux cycles. Ce sont des propositions exploratoires de chacune de leur énergie :

La journée

Nous n’avons pas la même énergie en fonction de la position du soleil dans le ciel. Analyser sa courbe de productivité permet de voir comment notre énergie se déploie en fonction de la journée.

La lune

* La nouvelle lune est un bon moment pour poser ses intentions et lancer un nouveau projet

* La lune croissante nous donne l’énergie pour nous dévoiler et être efficace

* La pleine lune offre un temps de rayonnement, de gratitude et de bilan

* La lune décroissante nous propose de ralentir et de faire le tri

Les saisons

* L’hiver nous invite à ralentir, nous ressoucer et à nourrir notre vision

* Le printemps nous propose de semer les graines de nos projets et d’éclore dans une nouvelle forme

* L’été est le temps de la récolte et du rayonnement de notre entreprise

* L’automne nous amène au bilan et au tri dans nos projets.

Les années

Une entreprise est une entité à part entière qui a sa propre courbe de croissance, son propre cycle. Elle n’est pas décorellée du vivant, elle en fait partie. Elle a donc ses phases de lancement, de stabilisation, de renouvellement, de stagnation et de mort-renaissance.

2. Le cycle féminin et la roue du féminin professionnelle

Pour les personnes qui possèdent un cycle féminin, c’est bien sûr un cycle supplémentaire très intime à prendre en compte. Le cycle féminin et ses 4 phases nous proposent 4 énergies très différentes mais tout aussi intéressantes et efficaces selon les tâches que nous souhaitons mener.

Si tu ne connais pas du tout les énergies du cycle féminin, je t’invite à les découvrir ici.

Chacune des phases est porteuse de l’énergie d’un des archétypes du féminin :

* la Femme Sage est la Visionnaire, celle qui reste dans son corps, dans l’instant présent mais voit à long terme, canalise sa Grande Vision. Peu encline au dur labeur, elle nourrit plutôt l’espace du rêve et des débuts et des fins

* La Jeune Fille est la Productrice, celle qui abat du travail après une phase Femme Sage bien reposée. Avec son mental clair, son sens de l’organisation, son endurance et son enthousiasme, on peut et on peut beaucoup.

*La Mère est la Communicante, celle qui va attirer à elle et créer du lien, qui cherche l’esthétisme, les ambiances, la good vibe. Attention cependant à ne pas se faire marcher sur les pieds à vouloir trop bien faire

*L’Enchanteresse est la Stratège, celle qui fait le point et le bilan sur les actions passées et prépare celle à venir. Riche de ses enseignements, elle transmet aux autres et permet d’atteindre un niveau de justesse de plus en plus haut… si elle ne tombe pas dans l’ascenseur émotionnel qui la déconnecte de son axe Terre-Ciel.

Ces archétypes sont présents dans le cycle féminin mais plus globalement dans la roue du féminin présente en chacun et chacune ! Ainsi cycliquement, un de ces archétypes se réveillent pour apporter sa médecine. Lorsqu’on est holipreneur•e, on les accompagner en conscience à prendre le devant de la scène au moment le plus opportun.

3. Développer notre propre cyclicité entrepreneuriale

Tous ses cycles sacrés sont des poupées russes qui s’emboitent pour parvenir au centre à notre façon d’entreprendre. Du micro au macro, nous pouvons analyser comment chacun des cycles nous impactent dans notre façon d’entreprendre : 

* suis-je plutôt du matin ? de l’après-midi ? de la fin de journée ? de la nuit ? 

* quelles types de tâches est le plus facile pour moi à quel moment de la journée ?

* où en suis-je dans mon cycle féminin ? 

* suis-je impactée par la phase lunaire ? 

* est-ce-que je sens une différence dans mes envies et mon énergie en fonction des saisons ? 

* quel âge à mon entreprise ? où en suis-je de son développement ? comment se porte mon CA ? ma clientèle ? 

C’est en observant et en analysant l’ensemble de ses datas qu’on peut dessiner notre propre cyclicité entrepreneuriale. Cela demande de :

* observer et suivre sa cyclicité

* de faire un bilan a posteriori, en allant chercher dans nos expériences passées

* d’être au clair avec ce qui a fonctionné et ce qui n’a pas fonctionné

* de déléguer des tâches à certains archétypes en fonction des cycles identifiés

* d’essayer d’autres process, d’autres modèles

* de faire des itérations 

Il n’est pas besoin de faire tout d’un coup. Pas à pas, cycle par cycle, nous nous rapprochons de notre vérité. 

Aussi les influences extérieures (familiales notamment) peuvent venir contrecarrer notre cyclicité propre. C’est bien normal, nous sommes des êtres sociaux en interaction constante. Faire un état des lieux des espaces de négociation ou non permet d’être au clair avec son champ d’action dans le respect de sa dynamique familiale. C’est aussi une phase d’acceptation à avoir.

Quand on est holipreneur•e, on accepte qu’il n’y a pas de recette toute faite ou de solution miracle. C’est un work in progress qui demande patience (le féminin tiens) et détermination (le masculin !). A la clé, un quotidien d’holipreneur•e apaisé, fluide et efficace.

Je vous propose d’aller plus loin dans cette exploration de la cyclicité dans l’holipreneuriat dans la formation (s’)Accompagner avec le cycle féminin.


Le prochain article vous emmènera plus loin dans l’exploration de l’holipreneuriat à travers le pilier II : L’équilibre du féminin et du masculin.

C’est quoi l’holipreneuriat ?

Holi- pour holistique et holy (sacré en anglais)

L’holipreneuriat, c’est entreprendre à partir de soi et avec toutes les parts de soi et de façon sacrée. C’est mettre en oeuvre sa mission d’être tout en prenant soin de soi et du monde.

Pilier I : La cyclicité

Intégrer sa cyclicité intérieure et la cyclicité de son entreprise.

Pilier II : L’équilibre des énergies féminine et masculine

Entreprendre depuis son féminin et mettre en oeuvre grâce à son masculin.

Pilier III : La prospérité

Abandonner l’abondance. Préférer la prospérité.

Pilier IV : Le soin de soi et du monde

Toujours choisir l’amour et restaurer sa souveraineté.

Pilier V : La co-création avec l’Univers

Honorer le subtil et faire confiance

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